lafacilitation.fr
  • TRAVAILLER ENSEMBLE
    • Nos prestations
    • Nos formations
    • Formation Manager Facilitateur
  • RESSOURCES
    • Le Blog
    • Le manuel du feedback
    • Nos podcasts
  • L’ÉQUIPE
  • NEWSLETTER
Categories

La loose

La looseMéthodes et outilsVis ma vie de Facilitatrice

Loose #5 : Vis ma vie de facilitateur : la panne technique

par Solenne Muret
par Solenne Muret

La salle, la connexion, les sticky walls, la date, la durée, … ahhh !!! On fait QUOI quand RIEN ne va bien…Nous avions envie de partager cette magnifique loose avec vous…

Au début, tout va bien…

Nous voilà sur la route pour une journée de séminaire de cohésion autour de la question du Management à l’ère du numérique. Le lieu de la prestation est plutôt sympa, au milieu des vignes, dans une grande salle. Même si les murs sont en brique apparente (vous avez déjà essayé de coller un post-it sur une brique ….?), nous avons de l’espace, plein de murs, des tables, des chaises pour organiser la salle en différents espaces de travail. Nous nous installons, nous testons les connexions pour le vidéoprojecteur, le son, le wi-fi installé pour l’occasion (la salle est un peu au milieu de nulle part…). Le matin, avant de commencer, tout va bien. Prêtes et motivées pour une journée géniale.

Recréer par le jeu les contraintes de la transition digitale

Le but du séminaire est de créer de la cohésion d’équipe pour une quarantaine de managers qui travaillent sur différents sites. Comment beaucoup d’organisations, ils sont confrontés à  de grands changements avec le déploiement de plusieurs outils numériques. Les équipes accueillent ces changement avec plus ou moins de facilité et d’appétence. Donc dans le programme de la journée, nous avions prévu un temps de cohésion, ou de team building, pour renforcer leurs liens, autour du jeu Crash on the Moon. Suite à sa formation d’architecte collaboratif en jeux d’innovation, Solenne a eu l’occasion de le tester sur une plateforme numérique. La plateforme recrée parfaitement les conditions de travail à distance: c’est idéal pour débriefer dans un second temps sur les freins et les leviers de la digitalisation. Elle permet aussi de jouer en aveugle :  les équipes sont faites de manière totalement aléatoires et personne ne sait avec qui il est dans son équipe. Chacun peut donc profiter du masque de l’écran pour révéler une facette de sa personnalité méconnue par ses collègues, et peut-être se révéler un leader dans ce jeu collaboratif.

La transition numérique oui, mais quand ça capte …

Nous sommes donc dans la salle, tout le monde est presque connecté. Les participants patientent virtuellement dans la salle d’attente du jeu. Tout le monde est dans les starting block, prêt à jouer!

En théorie nous étions bien parties. En théorie…. Car, vous le savez tous, avec le numérique, personne n’est à l’abri du bug… Et ça n’a pas raté ! Au moment où tout le monde était prêt à démarrer sur la plateforme, impossible de lancer le jeu. Impossible de se connecter. Impossible de passer à l’étape suivante. Bref, un grand moment de solitude.

Réagir … avec du papier et des stylos !

Mais comme nous sommes organisées, pleine de ressources et toujours parées à toute éventualité, (bon ok, presque toujours…) nous avions le plan B… C’est-à-dire la version classique du jeu, la version papier.

Alors oui, les déceptions ont été un peu dissimulées par des réactions bienveillantes (nos clients sont formidables!): “Ne vous inquiétez pas, ça arrive à tout le monde, la panne technique” (sic)… Mais bon quand même! Si notre niveau d’exigence en a pris un coup, ce n’est pas le seul revers d’un tel incident. Cette petite panne technique nous a coûté 2 éléments très importants pour réussir notre accompagnement :

  • Le temps perdu se rattrape difficilement

Nous avons perdu pas mal de temps. Nos séquentiels de facilitation d’ateliers ou de séminaires sont minutés. Même si nous nous laissons toujours une marge de manœuvre, ils restent assez serrés. Cette panne informatique nous a coûté près d’une ½ heure, et nous a contraintes à de nombreux ajustements sur la matinée. Même si le reste de la journée s’est bien passé, nous avons eu le sentiment d’être sur le fil du rasoir. Avec à la clé du stress, et un ressenti global mitigé.

  • Le désengagement est impactant pour la suite

L’attente subie par les participants, puis le changement d’outil ont été des éléments de démobilisation importants. Nous avons vu des smartphones ressortir des sacs pour traiter des emails pro. Les groupes ont entamé des conversations sur d’autres sujets. Il nous a fallu déployer une grande énergie pour remobiliser tout le monde, relancer la dynamique collaborative et motiver les troupes à s’écraser sur la Lune !

Le bilan ressenti est mitigé pour nous, bien que les objectifs du séminaire aient été atteints. Morale de l’histoire : l’informatique c’est génial, surtout quand ça marche ! Et toujours avoir le plan B très bien ficelé dans ses tablettes…euh pardon, dans son sac.

Et vous ? Intégrez-vous des outils numériques dans vos ateliers collaboratifs ou vos séminaires d’équipe ? Et ça se passe bien ?

0 commentaires
0 LinkedinEmail
En équipeLa looseVis ma vie de Facilitatrice

Loose #4 : Vis ma vie de facilitateur : quand le facilitateur claque la porte…

par Solenne Muret
par Solenne Muret

Vous savez, le coup du “y a-t-il un médecin dans la salle” ? Et bien ça arrive aussi aux facilitateurs. Si si …

J’ai récemment participé à un atelier de design thinking pour accompagner le développement d’un projet de territoire éco-responsable. Un porteur de projet et une douzaine de participants contributeurs, venus d’horizons variés, accompagnés par un facilitateur débutant pendant 3 jours pour relever le défi. Mon rôle : participer, mais aussi superviser, garde un œil sur le déroulé des ateliers et venir en renfort si ça coince.

Quand l’atelier commence à déraper, petit à petit…

Le groupe fait connaissance, commence à travailler, les questions fusent, les idées aussi, tout le monde est mobilisé, dans une dynamique positive pour aider le chef de projet. L’énergie est forte, le travail de facilitation est intense. L’enjeu augmente à mesure que les participants se prennent au jeu.

Et puis au cours du premier jour, la fatigue se ressent dans les réactions du facilitateur, qui se montre moins à l’écoute, presque agressif dans ses prises de parole, et très directif. Le groupe se montre de plus en plus réticent, tendu. Tout le monde est sous tension:  les petites remarques commencent à s’échapper. La communication non verbale le trahit, les signes sont flagrants de négatif et de mal-être du groupe comme du facilitateur. Bref, STOP tout de suite ! Alea jacta est… J’interviens gentiment plusieurs fois pour proposer mon aide lorsque les discussions montent ou que les participants ne trouvent plus de solutions. Et là, sans prévenir, notre facilitateur se lève et  bim, bam, boum, en plein après-midi d’atelier, il claque la porte! C’est clair, il faut prendre la main.

Assurer le bien-être du groupe, ça passe aussi par se questionner sur ses compétences

Le groupe me regarde, tout interloqué et me demande “mais il se passe quoi, là ?!?” Je les rassure:“ je pense qu’il est sous pression”… Quand on est facilitateur, surtout débutant, on se doit de garder humilité et ouverture d’esprit comme maîtres mots. Ne pas s’aventurer sur des projets complexes de manière trop légère, même si on en a très, très envie. Ce métier nécessite de l’expérience. Une première erreur a été de ne pas préparer au millimètre comme il se doit un atelier aussi intense et long; la seconde est de ne pas accepter l’aide, les conseils, les propositions, de personnes plus expérimentées.

Prendre la météo du groupe : demander aux participants comment ils se sentent

Ma première réaction, j’avoue sans beaucoup réfléchir, a été d’embrayer tout de suite avec le groupe sur la phase dans laquelle il était. Et de prendre le temps de savoir comment chacun se sentait. De faire un point de la situation et de proposer une nouvelle organisation. Le tout avec une grosse dose d’énergie pour relancer les participants dans une dynamique positive. Tout le monde approuve ? Super ! On a fait une pause régénérante et tout le groupe est reparti d’un bon pied. Bref, on se jette à l’eau !

Reprendre les bases : y a t il un séquentiel d’atelier, et tient-il la route?

Il n’y avait aucun séquentiel : pas de trame, pas de conducteur, pas de vision claire et précise de ce que le facilitateur allait demander à son groupe pour s’assurer de satisfaire les attentes du porteur de défi. Déjà, on est parti avec un handicap… Donc, au boulot ! Au lieu d’aller profiter du buffet, me voilà avec le porteur de défi, sur le coin d’une table, à essayer de comprendre les quelques mots notés en guise de séquentiel mais qui ressemblait plus à une liste de course : ice breaker, crazy 8, pop corn… On respire. On s’organise, on reprend les objectifs, les attendus et on monte un séquentiel, en mode urgence pour la première journée. Nous aurons le temps, ce soir, de penser à demain…

Au final, comme dans les jolis contes, tout est bien qui finit bien. Le porteur de défi était satisfait, le groupe s’est démené pour lui. Un bel exemple de cohésion face à l’adversité !

Et vous, qu’auriez-vous fait ? Dans un cas comme celui-ci, on prend la main pour continuer, ou bien on arrête le groupe pour le préserver d’un échec potentiellement plus important ?

PS : La photo de Tiana n’est pas contractuelle. Dans la réalité, elle est bien plus terrifiante quand elle est en colère !!

0 commentaires
0 LinkedinEmail
La looseVis ma vie de Facilitatrice

Loose #2: Vis ma vie de facilitateur : le participant tueur d’idées

par Karine Turcin
par Karine Turcin

C’est la hantise des facilitateurs. Nous l’évoquons à chaque formation, à chaque supervision. Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler du célèbre Tueur d’Idées.

Celui qui arrive et qui dit : “pfff, de toute façon ça sert à rien de discuter, on ne pourra rien faire/changer/dire/proposer parce que le chef/ la loi/ notre élu/l’Etat/ le système bloque tout”. “De toute manière ça marchera jamais, on l’a déjà essayé”. “Chez nous ce genre d’idée ça ne passe pas”. Le Tueur d’idées, c’est celui qui tue les idées des autres, parfois avant même qu’elles aient germé.

Et bien j’en ai rencontré un… et voilà ce qui est arrivé.

Un groupe de volontaires se réunit pendant 2 jours pour travailler sur l’attractivité du métier d’aide à domicile dans un contexte rural. Objectif: fournir à notre porteur de projet des idées nouvelles pour l’aider à donner envie aux gens de candidater aux offres d’emploi proposées par les collectivités territoriales locales. Sujet difficile, mais avec un sacré potentiel!

Notre groupe de 6 personnes est là, la salle est correcte, avec du soleil. Les facilitateurs sont prêts pour ce sprint de 48h. Le porteur de projet est impatient de commencer. Nous espérons déjà que le prototype que nous présenterons le 3ème jour sera à la hauteur de ses attentes!

Le porteur de projet présente le contexte de son problème : les aspects démographiques, juridiques, sociaux etc. sont exposés avec clarté, questionnés par le groupe pendant près de 2h. Nous devons comprendre ce contexte pour pouvoir nous creuser les méninges et trouver de nouvelles idées.

Et il est là, mon tueur d’idées, prêt à dégainer. Bras fermement croisés sur la poitrine, moue réprobatrice, sourcils froncés. C’est un homme d’expérience, un Directeur. Il parle fort, il a le ton de ceux qui ont l’habitude d’être écoutés et approuvés.

Quand il dégaine, il vise le coeur

Pendant toute la première demi-journée, il saborde, il détruit, il démonte chaque idée, chaque tentative pour générer des idées. “Pourquoi écrire des trucs sur des posts-it, puisque de toutes façons rien n’est possible ? ça sert à quoi de parler avec ces gens-là (les autres participants), puisqu’ils ne sont pas au courant des lois/habitudes/décideurs… ? Et puis le porteur de projet devrait retourner dans son bureau réviser sérieusement son sujet, quand même, avant de nous demander de venir réfléchir pour lui”.

Le groupe est démobilisé, le conflit pointe son nez entre mon Tueur d’idée et mon porteur de projet. Un camp commence à apparaître contre un autre.

On continue ? On arrête ? On tente ?

Nous devions continuer le travail. Avec beaucoup d’énergie nous avons réussi à mener tant bien que mal nos deux journées d’atelier. Nous avons donc choisi de travailler uniquement en petits groupes, binômes ou trio, pour empêcher notre Tueur d’idées de s’adresser au groupe entier et donc limiter sa tribune. Chaque mise en commun s’est avérée être une ouverture qui lui permettait de dénoncer, de critiquer vertement. Bref, il a systématiquement monopolisé la parole, malgré nos interventions parfois musclées pour permettre à tous de s’exprimer.

A la clé, nous avons livré un résultat absolument pas innovant mais suffisamment consensuel pour passer les critiques. La déception s’est ajoutée à la démobilisation de ceux qui voulaient jouer le jeu. Le porteur de projet, poli, est reparti insatisfait.

Bref, ce n’était pas le meilleur moment de ma vie de facilitatrice. Mais j’ai quand même pris quelques bonnes leçons…

Et vous, qu’auriez-vous fait ?

0 commentaires
0 LinkedinEmail
La looseVis ma vie de Facilitatrice

Loose #3 : Vis ma vie de facilitateur : un atelier collaboratif dans le bureau du DG !

par Solenne Muret
par Solenne Muret

Je l’aime bien celle-là parce que plus j’y repense, plus elle me fait sourire. En fait, je crois que je n’y aurais pensé ou osé ! Faciliter un atelier sur le travail collaboratif avec les salariés d’une entreprise, dans le bureau du DG…

Une salle très… insolite

Nous voilà en intervention avec Karine et d’autres collègues dans une entreprise pour la journée des salariés.  Nous sommes là pour leur proposer du “fun”, oui oui, du divertissement, de l’amusement… Concrètement, je ne sais pas trop. Le cadrage manquait de précisions selon moi. Toujours est-il que nous proposons à un groupe de 20 personnes un atelier de 2 heures sur la cohésion d’équipe autour du jeu. Et quelle n’est donc pas notre surprise quand nous découvrons en arrivant sur le site que ce matin, et bien, nous allons jouer dans le bureau du DG et celui attenant de sa secrétaire !

Toujours savoir s’adapter!

Pour les considérations logistiques et physiques,  nous savons toujours faire preuve d’une capacité d’adaptation sans faille. En revanche, le plus dur a été de gérer la déclaration faite par un des premiers entrants dans la salle “Aïe, en général, quand on vient ici, c’est pas bon signe…!”

Quelles réactions avoir? Quelles conduites tenir ? Faire comme si de rien n’était ? Renchérir ? Non, rien de tout. En effet, notre réaction a été de tenir notre cap, de ne pas perdre de vue notre objectif. Et ce qui nous a aidé : nous avions bien préparé la scénographie de notre atelier : du visuel, un pitch pour une bonne mise en condition, une bande musicale adaptée et tout s’est bien passé. Ainsi, les participants se sont bien mis dans la peau de leur personnage de jeu et n’ont même plus fait attention qu’ils étaient tous en train de réfléchir ensemble autour du bureau de leur DG, assis, debout, accroupis. Peu importe, ils étaient pris par le jeu.

Morale de l’histoire…?

Si ce n’est pas vous qui faites les repérages de salle, demandez des photos et obtenez-les !! Et préférez les couloirs que les bureaux de direction, les meubles sont trop lourds à remettre en place…

Et vous, qu’auriez-vous fait ?

0 commentaires
0 LinkedinEmail
Et maintenant, on fait comment?
La looseVis ma vie de Facilitatrice

Loose #1: Vis ma vie de facilitateur: le groupe n’a aucune, mais aucune envie de participer…

par Karine Turcin
par Karine Turcin

Décollage pour un séminaire annuel dédié au Numérique et au Management ! Nous voilà dans une communauté de commune portée par une DGS motivée par l’innovation managériale, inspirée par l’intelligence collective et désireuse d’en faire profiter toute son équipe.

Avec Solenne, nous avions tout prévu. Un séquentiel bien ficelé, basé sur des ateliers avec des outils en ligne testés et efficaces. Nous avions même prévu une version de secours en cas de panne technique. Le déroulé minute par minute, les documents nécessaires imprimés et bien classés, des feutres, du scotch, des posts-it, des affiches grands formats. Les sticky walls sont accrochés aux murs. La salle est installée en îlots pour favoriser le travail en petits groupes et la mise en commun en collectif.

Bref, tout est sous contrôle…sauf …

Ben sauf que personne, ou presque, n’avait envie de participer. Rien de désagréable en soi : les managers, heureux de se retrouver hors du bureau, sous pression tout le reste de l’année, avaient juste envie de profiter de cette journée OFF … pour être vraiment OFF…

Le séminaire est prévu un vendredi, toute la journée. La matinée se passe plutôt bien, même si l’ambiance est très, très décontractée (bon, les gars, on bosse un peu sur notre sujet, quand même ?…). L’après-midi dérape gentiment, petit à petit ! Et puis plus personne n’a envie de suivre les règles de nos ateliers, pourtant basés sur des mécanismes de jeu … Nous sentons que nous ne parviendrons pas à les embarquer avec nous, qu’ils ont envie de rire ensemble, de parler d’autre chose. C’est un grand moment de solitude pour nous, facilitatrices…

Et maintenant, on fait quoi ?

2 choix : forcer le groupe, redresser la barre et mener vaille que vaille notre programme pour répondre à la commande de notre client. Ou bien lâcher-prise sur ce que nous avions prévu, et improviser avec ce que nous avions dans nos cartons. Terminer notre travail en prenant soin du groupe en écoutant son besoin et sa fatigue.

Nous sommes vendredi soir, en juin, l’année a été longue, la journée aussi.

Nous avons choisi de lâcher-prise. L’improvisation n’a pas été simple, tout en sachant que notre cliente, dans le groupe, assistait à notre impuissance. Mais nous avons décidé que le bien-être des participants était essentiel, plus important que la réussite du livrable prévu.

Notre erreur ? Le contexte, ici, n’avait pas été suffisamment compris et pris en compte lors du cadrage. Une très bonne leçon pour les séminaires à venir !

Et vous, qu’auriez-vous fait ?

0 commentaires
0 LinkedinEmail

Catégories

  • Business (3)
  • Dans la bibliothèque (2)
  • Débat & idées (2)
  • Définitions (3)
  • En équipe (17)
  • Innover sur la durée (6)
  • La loose (5)
  • Manager Facilitateur (11)
  • Méthodes et outils (27)
  • Organisation personnelle (10)
  • Transitions (6)
  • Vis ma vie de Facilitatrice (8)

La Facilitation sur les réseaux

Linkedin Youtube Soundcloud

@2024 - La Facilitation.fr - Tous droits réservés - Mentions légales - Politique de confidentialité - CGV

lafacilitation.fr
  • TRAVAILLER ENSEMBLE
    • Nos prestations
    • Nos formations
    • Formation Manager Facilitateur
  • RESSOURCES
    • Le Blog
    • Le manuel du feedback
    • Nos podcasts
  • L’ÉQUIPE
  • NEWSLETTER
Nous utilisons des cookies pour nous permettre de mieux comprendre comment le site est utilisé.OKNonPolitique de confidentialité