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En équipeMéthodes et outils

Pourquoi commencer ses réunions par du silence?

par les facilitatrices
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Es-tu prêt.e à commencer tes réunions par 20 minutes de silence ?

Nous perdons beaucoup trop de temps à communiquer des infos en début de réunion parce que personne ne les lit si nous les envoyons avant.

Le temps pour le feedback, la résolution des problèmes et les décisions: réduit à peau de chagrin.

Voici la solution :

𝗦𝗶 𝘁𝘂 𝗮𝘀 𝟭𝗵 :

𝟮𝟬 𝗺𝗻 𝗱𝗲 𝘀𝗶𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 : chacun lit les documents, les annote, et complète un support de feedback que tu as fourni (”Ce que j’aime, ce qui me surprend, mes remarques, mes questions”).

𝟮𝟬 𝗺𝗻 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲 : collecte des idées, discussions. Si trop nombreux (plus de 8): échanges en sous-groupes

𝟮𝟬 𝗺𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗼-𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲 que tu veux obtenir à la fin de ta réunion en réaction aux infos diffusées (un diagnostic avec les problèmes clarifiés, des solutions, des décisions ou un plan d’action).

Un ROTI pour conclure.

Chiche ?

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Notre bibliothèque
Dans la bibliothèqueManager FacilitateurOrganisation personnelle

Biblio La Facilitation : nos livres préférés

par les facilitatrices
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Nous vous partageons régulièrement nos conseils lecture lors des conférences, des formations ou des ateliers que nous passons ensemble.

Voici nos 3 références du moment : 

enlightened Carnet de facilitation, l’intelligence collective ne s’improvise pas de Melissa Aldana, Vincent Dromer, Thibaud Gangloff, Geoffrey Guillochin et Yoann Lemeni. Editions Eyrolles

Non, ce n’est pas un énième livre sur la facilitation mais un carnet pour :

– explorer le monde de la facilitation, 

– créer les conditions de l’intelligence collective 

– trouver des outils pour fédérer et tirer le meilleur parti d’un collectif, le rendre réactif, adaptable et efficace. 

enlightened  La boîte à outils de la pensée visuelle de Béatrice Lhuillier et Caroline Tsiang – Edition Dunod

Un guide proposant des outils pour mettre en œuvre la pensée visuelle dans son entreprise, un mode de communication qui associe les mots et les images afin de dynamiser ses messages et de penser différemment.

enlightened  La 25e Heure : comment travailler 1 heure de moins chaque jour, de Guillaume Declair, Bao Dinh et Jérôme Dumont. Édition Revue et augmentée
Ce petit livre regorge d’astuces très utiles (et faciles à déployer!) pour bien s’organiser, pour gagner du temps dans votre quotidien professionnel, même quand on n’est pas CEO de start-up 😉

Et vous, quels sont vos livres préférés pour optimiser votre quotidien professionnel ?

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En équipeLa looseVis ma vie de Facilitatrice

Loose #4 : Vis ma vie de facilitateur : quand le facilitateur claque la porte…

par Solenne Muret
par Solenne Muret

Vous savez, le coup du “y a-t-il un médecin dans la salle” ? Et bien ça arrive aussi aux facilitateurs. Si si …

J’ai récemment participé à un atelier de design thinking pour accompagner le développement d’un projet de territoire éco-responsable. Un porteur de projet et une douzaine de participants contributeurs, venus d’horizons variés, accompagnés par un facilitateur débutant pendant 3 jours pour relever le défi. Mon rôle : participer, mais aussi superviser, garde un œil sur le déroulé des ateliers et venir en renfort si ça coince.

Quand l’atelier commence à déraper, petit à petit…

Le groupe fait connaissance, commence à travailler, les questions fusent, les idées aussi, tout le monde est mobilisé, dans une dynamique positive pour aider le chef de projet. L’énergie est forte, le travail de facilitation est intense. L’enjeu augmente à mesure que les participants se prennent au jeu.

Et puis au cours du premier jour, la fatigue se ressent dans les réactions du facilitateur, qui se montre moins à l’écoute, presque agressif dans ses prises de parole, et très directif. Le groupe se montre de plus en plus réticent, tendu. Tout le monde est sous tension:  les petites remarques commencent à s’échapper. La communication non verbale le trahit, les signes sont flagrants de négatif et de mal-être du groupe comme du facilitateur. Bref, STOP tout de suite ! Alea jacta est… J’interviens gentiment plusieurs fois pour proposer mon aide lorsque les discussions montent ou que les participants ne trouvent plus de solutions. Et là, sans prévenir, notre facilitateur se lève et  bim, bam, boum, en plein après-midi d’atelier, il claque la porte! C’est clair, il faut prendre la main.

Assurer le bien-être du groupe, ça passe aussi par se questionner sur ses compétences

Le groupe me regarde, tout interloqué et me demande “mais il se passe quoi, là ?!?” Je les rassure:“ je pense qu’il est sous pression”… Quand on est facilitateur, surtout débutant, on se doit de garder humilité et ouverture d’esprit comme maîtres mots. Ne pas s’aventurer sur des projets complexes de manière trop légère, même si on en a très, très envie. Ce métier nécessite de l’expérience. Une première erreur a été de ne pas préparer au millimètre comme il se doit un atelier aussi intense et long; la seconde est de ne pas accepter l’aide, les conseils, les propositions, de personnes plus expérimentées.

Prendre la météo du groupe : demander aux participants comment ils se sentent

Ma première réaction, j’avoue sans beaucoup réfléchir, a été d’embrayer tout de suite avec le groupe sur la phase dans laquelle il était. Et de prendre le temps de savoir comment chacun se sentait. De faire un point de la situation et de proposer une nouvelle organisation. Le tout avec une grosse dose d’énergie pour relancer les participants dans une dynamique positive. Tout le monde approuve ? Super ! On a fait une pause régénérante et tout le groupe est reparti d’un bon pied. Bref, on se jette à l’eau !

Reprendre les bases : y a t il un séquentiel d’atelier, et tient-il la route?

Il n’y avait aucun séquentiel : pas de trame, pas de conducteur, pas de vision claire et précise de ce que le facilitateur allait demander à son groupe pour s’assurer de satisfaire les attentes du porteur de défi. Déjà, on est parti avec un handicap… Donc, au boulot ! Au lieu d’aller profiter du buffet, me voilà avec le porteur de défi, sur le coin d’une table, à essayer de comprendre les quelques mots notés en guise de séquentiel mais qui ressemblait plus à une liste de course : ice breaker, crazy 8, pop corn… On respire. On s’organise, on reprend les objectifs, les attendus et on monte un séquentiel, en mode urgence pour la première journée. Nous aurons le temps, ce soir, de penser à demain…

Au final, comme dans les jolis contes, tout est bien qui finit bien. Le porteur de défi était satisfait, le groupe s’est démené pour lui. Un bel exemple de cohésion face à l’adversité !

Et vous, qu’auriez-vous fait ? Dans un cas comme celui-ci, on prend la main pour continuer, ou bien on arrête le groupe pour le préserver d’un échec potentiellement plus important ?

PS : La photo de Tiana n’est pas contractuelle. Dans la réalité, elle est bien plus terrifiante quand elle est en colère !!

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BusinessEn équipeMéthodes et outils

Serious game : focus sur la cubification

par Solenne Muret
par Solenne Muret

Nous l’avons testé pour vous et ça marche ! Voici un serious game génial à utiliser sans modération, seul ou en grand nombre, pour trouver de nouvelles idées : la CUBIFICATION !! Alors je vous raconte …  

La cubification, un casse-tête revisité

Cette méthode a été créée par Hélène Michel, Game designer et professeur en management de l’innovation à Grenoble Ecole de Management.  Sa recette ? Associer le Rubik’s Cube et le storytelling. Déjà testée et approuvée par de nombreuses entreprises telles que MAPED, Somfy, Cap Gemini ou encore la Bibliothèque Nationale de France, la cubification est une méthode originale, très opérationnelle et facile à mettre en œuvre.

Le principe : 6 faces, 54 idées, un million de possibilités!

Ce jeu associe à la fois le rubik’s cube et le story telling. Il se décompose en 2 temps :

  1. La création du modèle, ou concrètement, le remplissage du cube : 6 faces correspondant à 6 éléments constitutifs de la future proposition d’idée : l’utilisateur, le lieu, la ressource, le game changer, l’avantage et le modèle de revenu.
  2.  La génération d’idées : l’équipe mélange le cube pour combiner les 6 dimensions du modèle et faire émerger une ou plusieurs propositions, plus ou moins disruptives. Proposition qu’elle va présenter à l’ensemble du groupe en racontant une histoire.

Le but du jeu : laisser libre cours à son imagination pour raconter une histoire sur la base des éléments retenus grâce au hasard.

Ici pas de gagnant ou de perdant. Le but est que chaque équipe présente ses contes d’innovation, que les autres participants enrichissent les scénarios ou éventuellement rebondissent sur des premières idées pour créer de nouvelles histoires. C’est vraiment un jeu collaboratif où tout le monde gagne car tout le monde est doté d’un cerveau et peut donc proposer des éléments constitutifs de l’histoire.

A la fin? Riches de toutes les propositions de contes, le groupe priorise selon des critères qui sont aussi définis collectivement (coup de coeur, niveau de disruption, faisabilité à court terme, investissement financier…).

Mais alors dans quels contextes utiliser ce serious game ?

Les terrains de jeux sont multiples et dépendent à la fois du nombre de joueurs et du niveau d’avancement du projet.

Entrepreneur ? Vous souhaitez créer et enrichir votre première offre ? Jouez !

Dirigeant / Manager ? Vous souhaitez développer l’offre de votre entreprise pour explorer de nouveaux marchés, innover pour saisir de nouvelles opportunités ? Jouez !

Chef de projet ? Vous souhaitez mettre en action votre équipe, favoriser sa créativité, développer son agilité pour faire émerger de nouveaux angles de vue ? Jouez !

Consultants ? Vous accompagner des groupes de travail pour repenser la stratégie d’entreprise ? Jouez !

En reconversion ? Vous souhaitez imaginer de nouvelles trajectoires pour votre carrière professionnelle ? Jouez !

Cette approche permet de produire en un temps record, un maximum d’idées qui seront ensuite enrichies, modélisées, prototypées mais surtout testées auprès des utilisateurs avant d’être concrètement développées.

Pour répondre à quels objectifs ? Pour accueillir de nouveaux modes de management, pour innover, expérimenter de nouvelles approches de créativité mais surtout, résoudre de manière ludique de vraies problématiques !

Car oui, tout le monde est créatif.

Comme disait Einstein, la créativité, c’est l’intelligence qui s’amuse….

Envie d’expérimenter ? Rdv à la Fabrique du Changement à Bordeaux le 28 mai prochain https://www.lafabriqueduchangement.events/bordeaux/

En savoir  + : TEDx – Sur le chemin de la confiance

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Méthodes et outils

5 astuces pour punker, dès demain, vos réunions au boulot.

par les facilitatrices
par les facilitatrices

 

Bonjour !

Aujourd’hui, ce que vous souhaitez, plus que tout, c’est transformer vos réunions, les rendre plus efficaces et moins longues.

Et vous avez raison ! Parce que ces temps interminables où aucune décision n’est prise rendent tout le monde fou.

Parce que plus personne n’écoute…

Parce que la présentation de 50 slides de Denise a encore endormi tout le monde …

Parce que tout le monde en profite pour répondre à ses mails…

Parce que ça coûte aussi un peu cher, à la fin, tout ce temps perdu…

Alors voici 5 astuces pour punker, dès demain, vos réunions au boulot.

Affichez clairement l’ordre du jour !

Ok c’est pas très fun, c’est tout bête, c’est tout simple, mais ça marche !

Mais dis, Karine, l’ordre du jour, c’est quoi ?

C’est le sujet de la réunion, ce dont vous allez parler. Si ce n’est pas clairement précisé, et bien on parle … d’autre chose! Et au bout du temps imparti à la réunion (le maximum jusqu’à épuisement…), chacun repart travailler, et personne n’a répondu à la question…

Alors, fixez un ordre du jour clair, envoyez-le à l’avance aux participants, et affichez-le en grand dans la salle de réunion!

Affichez, on vous dit, affichez…

Les mots et les idées qui ne sont pas écrites s’envolent. C’est la base de notre travail de facilitatrices. Tout ce qui est important doit donc être noté. Le meilleur moyen de tout conserver, c’est d’utiliser des templates ou cadres visuels que vous avez pré-dessinés (une frise chronologique, une mindmap, un arbre à idées…) et de coller dessus les bonnes idées sur des posts-it (ou des petits papiers avec un bout de scotch).Si vous avez une salle de réunion attitrée (veinards!), gardez les idées affichées, vous en serez inspiré.e.s la prochaine fois (on appelle aussi ça une Obeya, promis, nous en parlerons bientôt sur ce blog.).

Soyez ambitieux.se: limitez vous à 3 sujets par réunion

Pourquoi ambitieux ? Parce qu’il faudra les terminer, ces 3 sujets. Aller au bout, y répondre, creuser les idées. Et si nous avons 10 sujets à traiter en 2h, c’est sûr, c’est certain, le premier fera l’objet de longs débats, et, les 9 derniers, on en parlera (pas) trop peu. Alors, limitez-vous, et allez jusqu’au bout !

Restez debout …

Oui, debout. Pour des réunions quotidiennes, des debriefs, des discussions flash pour prendre des décisions rapides. Rester debout, avec du mobilier approprié (mange-debout) ou même en se promenant (dans le parc d’à côté?) permet d’être dynamique, de ne pas piquer du nez sur son smartphone, et de faire court ! Les anglophones appellent ça les “stand-up meeting”. Mais “réunion debout”, ça marche aussi !

Jouez pour décider

Tout le monde a gardé une âme d’enfant. Et rien de mieux que le jeu pour stimuler les participants et les inciter à participer et à donner des idées! Les anglophones disent “serious games”, parce que l’objectif c’est quand même d’être sérieux, mais en s’amusant. Il existe nombre de livres qui présentent des jeux sérieux pour stimuler la créativité, réaliser des diagnostics, faire du team building, ou encore préparer un plan d’actionNotre référence préférée en ce moment : Gamestorming – Jouer Pour Innover, de James Macanufo et Sunni Brown.  Mais promis, nous vous en donnerons plein d’autres, très bientôt!

Nous sommes 3 facilitatrices convaincues que la facilitation, par les outils et les postures qu’elle utilise, est un trésor que nous nous devons de partager ! Vous trouverez au fil des semaines dans ce blog nos retours d’expériences, nos astuces, nos coups de cœur, nos cas d’usage.

N’hésitez pas à les piocher, reproduire, tester et à raconter ici vos propres expériences.

Copier, c’est apprendre !

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Facilitation graphique
BusinessMéthodes et outilsVis ma vie de Facilitatrice

Le Management Visuel, j’adore!

par Tiana Castelneau
par Tiana Castelneau

Le management visuel vient de la culture anglo-saxonne et il est issu du Lean Management, utilisé dans les années 50 dans les usines Toyota. Dans les années 70, c’est au tour de Tony Buzan de modéliser le mind mapping et à David Sibbet de proposer les premières façons de modéliser des process de travail collaboratif. Les bases de la facilitation graphique sont posées et sont en anglais.

C’est la raison pour laquelle tous les termes utilisés sont anglais et ne sont pas forcement traduits de la même manière en France où ces pratiques sont encore en plein développement. On les confond souvent avec des pratiques artistiques. J’ai d’ailleurs eu une formation en école d’art, sans avoir le moindre module en facilitation graphique… c’est la raison pour laquelle je peux affirmer qu’il n’est pas nécessaire de savoir dessiner pour utiliser les méthodes et les outils visuels en entreprise!

Le management visuel dont la facilitation graphique est issue, est une méthodologie de visualisation. Elle utilise des phrases, très courtes avec très peu de mots clés. Un amoncellement de mots clés ne nous éclairent pas sur le contexte et la signification exacte des idées. Des symboles, des dessins très simples et des phrases courtes, modélisées ensemble en grand format, nous donne une vision globale d’un projet, la vision macro et micro en même temps.  Avoir la possibilité en un coup d’oeil de comprendre où l’on doit aller, nous donne la possibilité d’y arriver. C’est vraiment l’idée que sans compréhension d’un projet, il ne peut pas y avoir d’adhésion ou de motivation. Notre cerveau est avide d’images et il retient ( de 5 à 10 fois selon les chapelles…) plus d’informations visuelles qu’orales. Ce qui permet de réduire les temps de réunions et de favoriser le passage à l’action.

Suivant les situations, on utilise des méthodes différentes, voici quelques exemples :

  • Si l’on veut prendre des notes personnelles pendant une conférence ou une réunion dont on ne sait rien, on utilise les #sketchnotes (croquis notes pour les canadiens) On travaille son écoute active, et on note de manière synthétique ce que l’on comprend, agrémenté de petits dessins. Mémorisation garantie!
  • Si l’on veut faire un compte rendu visuel, pour un groupe présent on utilise le #Scribing. C’est une prise de note live avec un sujet qui nous a été communiqué par le client pour préparé notre base graphique et comprendre le jargon interne.
  • S’il faut accompagner visuellement un process de travail ( réunion Vision, Stratégie, etc…), on collabore avec un facilitateur et on se met d’accord sur le livrable attendu par le client.
  • Si les clients ont besoin de posters de récolte pour des réunions visuelles sans nous, mais pour leurs pratiques quotidiennes, cela fait partie des travaux visuels qui peuvent se faire en atelier avec remise numérique pour impression au besoin par le client.
  • Si un ville ou une organisation a besoin de communiquer sur l’avancement d’un projet, c’est également tout un travail d’atelier pour s’intégrer à un scénographie. Il faut modéliser et expliquer le plus simplement possible des idées qui seront imprimées sur différents supports et formats pour un affichage intérieur ou extérieur.

Les avantages de l’utilisation des différentes méthodes de facilitation graphique:

  • Avoir une vision claire de son activité, ses objectifs, sa stratégie, ses valeurs ou son histoire…
  • Avoir une vision claire des activités de chaque équipe, composante de la dimension collective du travail.
  • Identifier les causes d’écarts entre les théories de départ et la mise en œuvre
  • Accompagner les process et rendre visibles toutes les interconnexions nécessaires à l’émergence de l’intelligence collective
  • Remettre le Feed-back continuel au gout du jour pour un management plus harmonieux
  • Avoir un compte rendu visuel plus impactant qu’un rapport écrit que personne ne lira…

Sans oublier que la mixité apporte de la richesse…

N’hésitez pas à mélanger les méthodes pour une adaptation créative optimale à un monde des affaires complexes et en évolution constante.

Mélangez les méthodes agiles, les différentes méthodes de cartographie de l’information comme le Mind Mapping, les méthodes japonaises comme le Kanban… Mettez en place des Obeya (salle de créativité) … Ce sont autant d’outils et de méthodes visuelles qui mettrons les équipes dans une dynamique collaborative.

Je milite au quotidien pour la démocratisation des techniques de facilitation graphique en entreprise grâce à l’aide d’un nombre de plus en plus élevé, d’utilisateurs, de passionnés et de clients motivés qui sont des relais sur le terrain.

C’est l’union de nos forces sur l’accompagnement des projets, qui crée de la valeur.

Et je remercie chaleureusement mes clients qui acceptent les processus de co-construction pour developper nos capacités ensemble. Travailler avec des méthodes de Facilitation Graphique dans une organisation apprenante et le plus enthousiasmant des quotidiens professionnels!

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Méthodes et outils

Les 5 erreurs à commettre (et leurs parades) pour rater à coup sûr sa réunion !

par Solenne Muret
par Solenne Muret

Vous vivez des réunions parfaites. Chaque semaine, vous les enchaînez et elles sont toutes fascinantes, vous êtes captivé à chaque minute et vous n’êtes pas sorti de l’une qu’il vous tarde déjà la suivante. Vous en ressortez boosté pour des jours entiers, avec une motivation au plus haut et une liste claire de ce que vous devez faire parce qu’elles sont toutes au top de l’efficacité ?!

Oui mais bien sûr !! Allez à d’autres !!

Alors pour faire un pas et stopper l’hémorragie de la réunionite aigüe, voici les 5 erreurs que l’on retrouve (très) souvent et qui sont rédhibitoires ou incontournables pour une réunion. Tout est histoire de point de vue.

1. Ne pas respecter les horaires

Ça n’a l’air de rien mais commencer avec 15 minutes de retard, pour finir avec une demi-heure ou 45 minutes. Non, trop c’est trop.

Par respect, envers vous-même et celui des participants, il est vraiment important de se montrer ponctuel. Cette bonne habitude ne se prend pas du jour au lendemain. en revanche, le fait de savoir que les réunions commencent et surtout se terminent à l’heure amène une discipline positive, et une mobilisation différente des participants. C’est un peu comme quand nous avons rendez-vous chez le dentiste. On sait à quelle heure est notre rendez-vous mais on ne sait jamais à quelle heure on va en sortir et c’est jamais très agréable.

Donc c’est tout simple, on commence à l’heure et dès le début de la réunion, on s’accorde sur l’heure de fin (et éventuels décalages), même si cela a déjà été mentionné dans l’envoi de l’ordre du jour. Il en va du bon déroulement de la réunion mais aussi de la journée de chacun. Une proposition pour vous y aider est d’utiliser un time keeper.

2. Ne pas fixer d’objectifs à la réunion

Ca semble saugrenue mais cela arrive tellement souvent. Combien de fois nous sommes-nous dit “pour quelles raisons je vais à cette réunion?” “ Et au final, qu’en est-il sorti?” “des décisions ont-elles été prises?” “Et moi, je n’ai rien de spécial à faire pour la prochaine? “ “Je me demande vraiment pourquoi je suis venu”….

Dans la présentation de l’ordre du jour, il est donc vraiment important de préciser les décisions,  les engagements, ou encore, les points d’étapes qui doivent aboutir lors de cette réunion. Chaque participant doit en ressortir avec une vision claire de ce qu’il doit ainsi apporter pour la prochaine fois.

3. Lancer une présentation de 140 slides…

… ou comment perdre son auditoire au bout de la 3ème …

Et pour peu que les slides soient remplies de texte. C’est foutu !

Une méthode éprouvée et vraiment pertinente pour palier au Powerpoint sans fin est le Pecha Kucha : 20 slides, 20 secondes par slide, pas de texte, une photo ou une illustration. 6mn40 pour présenter un succès et capter votre auditoire à coup sûr, tout en respectant un timing.

Mais le compte-rendu dans tout ça me direz-vous ?

4. Ne pas faire de compte-rendu

Et oui, il en faut bien un. Comment transmettre l’information, garder traces des décisions, des échanges. Rien de mieux que d’avoir un scribe, ou une personne qui se charge du compte-rendu et cela à tour de rôle. Ca participe aussi à l’implication et la participation de chacun. Et pour rebondir avec le Pecha Kucha, à côté de la photo, le scribe synthétise grâce à quelques mots clés. Ou encore, expérimentez les compte-rendus vidéos/audios. Vous en surprendrez plus d’un à le regarder/écouter jusqu’au bout alors que jusque là, il ne l’aurait pas forcément lu avec attention.

5. Pensez tout seul !

Rien de pire que de participer à une réunion uniquement faite d’informations descendantes où les participants font simplement acte de présence.

Alors qu’il existe tellement d’outils et de solutions très faciles pour s’assurer que le message est clair, compris et partagé par tous. Exemple ? Quand vous avez une information à partager à votre équipe, plutôt que de vous lancer dans un Powerpoint que vous aurez mis des heures à préparer, et sur lequel vous allez parler pendant bien 30 minutes, je vous propose une autre approche. Lancez-vous dans un pecha kucha. Le temps de préparation sera plus court pour vous, il vous permettra de bien structurer votre intervention, d’aller à l’essentiel. Ensuite, 6mn40 de présentation attractive pour votre équipe. Puis, en petits groupes, demandez-leur de retranscrire sur une affiche, comme pour la Une d’un journal, ce qu’ils ont retenu de vos messages. Vous aurez ainsi un retour constructif de votre intervention et ils y auront pris part.

Et tout est là. il est indispensable d’associer vos collaborateurs, même dans le simple partage d’informations, pour ne pas que ça rentre par une oreille pour sortir par une autre. Il faut les mobiliser et les solliciter sur ce qu’ils en ont retenu. L’intelligence collective commence déjà là.

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